L’écoresponsabilité ne touche aujourd’hui qu’un nombre réduit de personnes, souvent issues de l’écologie ou personnels travaillant dans ce secteur et s’interrogeant sur l’impact de leur métier.

Nous devons passer au stade suivant : le consommateur, acheteur parfois convulsif d’équipements, qui peut placer son égo dans le dernier smartphone, le plus plat, le plus puissant, mettant en œuvre les dernières technologie.

Il faut informer, évoquer des chiffres pertinents (et non les valeurs loufoques qui circulent parfois). Faire peur ne semble pas la bonne orientation, il faut informer et non désinformer. Inciter les consommateurs à réfléchir sur leurs usages, leur degré d’addiction, la confidentialité de leurs informations personnelles, leur responsabilité environnementale. Bien sur, l’écoresponsabilité IT s’inscrit dans une démarche plus large qui associe déplacements, logements, nourritures, cosmétiques, vêtements, .. Il s’agit d’une brique parmi tant d’autres d’un édifice bien compliqué à bâtir.

Sensibiliser les consommateurs sur les enjeux passe par différents types d’actions de communications, les collaborateurs d’entreprises devront également être sensibilisés à l’utilisation rationnelle et économes des ressources, cela ne pourra que rejaillir sur leur comportement de consommateur.

Les plus motivés viendront combattre au sein d’associations de consommateurs qui militeront pour l’application des textes en vigueur, la rédaction de nouvelles normes, l’information consommateur, la limitation du stockage des données personnelles … le domaine est large.

Bienvenue dans l’écoresponsabilité IT.